Pourquoi ce voyage ?


Et pourquoi pas surtout !
On pourrait résumer ce paragraphe par la citation :


"VIS TES RÊVES AU LIEU DE RÊVER TA VIE"

Bon, dans le détail, il faut savoir que nous sommes férus de voyages depuis longtemps… Récemment, nous nous sommes mariés pour le meilleur et pour le pire... Le pire ? ce sera pour plus tard... Pour l’instant, nous nous sommes décidés à "sauter le pas" et à ne vivre que le meilleur en profitant à fond d’une expérience hors du commun : celle de tout plaquer pendant six mois !

L’idée originelle date de quelques années déjà ! Lors d’un week-end à Prety, en Bourgogne, nous nous sommes faits cette réflexion –que l’on se fait à chaque fois que l’on part de Paris- : « Qu’est-ce que c’est bon les vacances ! » Il faut dire que nous n'en sommes pas à notre coup d'essai : États-Unis, Crète, Corfou, Sardaigne, Sicile, Royaume-Uni - et j'en oubli surement - il est sur que la mouche des voyages nous a piqué il y a déjà bien longtemps...


Mais cette fois-ci, lors de ce fameux week-end, c'est d'autre chose que l'on rêvait : on s'imaginait plutôt partir pour de vrai, plus longtemps, plus loin… différemment !  On s’est donc promis, tout en rêvant -et finalement peut-être sans trop y croire- de faire un jour ce grand voyage : le Tour du Monde…

Quelques années plus tard, et alors que cette idée était enfouie au plus profond de nous, le besoin de liberté et d’évasion se fait plus que jamais sentir :

  - Le « ras-le-bol » de la grisaille et des embouteillages permanents de la région parisienne
  - L’envie de découvrir de nouveaux paysages à chaque coin de rue
  - La sensation d’un voyage sans fin
  - L’envie de faire une véritable « pause » avant d’avoir des enfants…

… et surtout l’application de cette célèbre formule : « Pourquoi remettre à plus tard ce que l’on peut faire aujourd’hui… ? » qui a fini de nous décider…
Nous avons fait le choix de profiter de la vie car on ne sait de quoi demain sera fait !

Voilà donc comment est née l’idée de ce Voyage aux Quatre coins du Monde ; finissons comme on a commencé, par une citation qui caractérise bien ce projet un peu fou :

« CE N’EST PAS PARCE QUE LES CHOSES SONT DIFFICILES QUE NOUS N’OSONS PAS, MAIS PARCE QUE NOUS N’OSONS PAS QU’ELLES SONT DIFFICILES » SÉNÈQUE

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